Le gym vu d'Alsace

 

Extrait DNA

 

 

Séries

- Bon, on va encore se répéter. Depuis la réception du Mans le 7 février, le Racing n'a plus gagné à domicile : en onze rencontres, il a concédé 6 nuls et 5 défaites.
Et il ne s'est toujours pas imposé en L1 cette saison.
Quant aux Niçois, 19e après 5 journées (2 points au compteur), ils ont rétabli la situation de manière spectaculaire, s'imposant à quatre reprises (Sochaux, Rennes, Monaco, Toulouse) et faisant match nul à Metz. Désormais 8e, les Niçois ont inscrit 10 buts et en ont encaissé 5 durant le même laps de temps.


Solidarité

- Organisé en 3-5-2 ou en 5-3-2 selon les circonstances, le jeu niçois se résume à quelques principes : solide derrière, avec Cobos et Abardonado comme chiens de garde, compact au milieu avec Bisconti et Balmont comme coureurs de fond, et rapide devant avec Agali, Roudet et Vahirua.
Les Niçois cherchent souvent la profondeur, privilégient les contres. Et si on pouvait leur reprocher parfois leur dureté, ils développent désormais du jeu. En plus, comme à Monaco où ils avaient gagné 4-3 après avoir été menés 0-3, ils ont un joli grain de folie.
A Nice, on ne change pas une méthode qui gagne : tout le monde a dans sa tête la définition du mot solidarité.


Le retour de josé

- « C'est toujours un match très particulier pour moi. Je ne reviens pas seulement dans mon club, mais surtout dans ma ville. Et c'est toujours un crève-coeur d'affronter le Racing quand il va mal, explique José Cobos. Je préférerais voir nos deux clubs se rencontrer pour une place en Coupe d'Europe. »
Quant à la suite de sa carrière, il ne veut rien programmer. « A plus de 33 ans, j'avais été victime d'une rupture des ligaments croisés. Le docteur Paternotte a fait des miracles, comme André Goerig chez lequel j'ai fait ma rééducation. Au bout d'un an, j'ai rejoué. Depuis, je considère que je vis du bonus. Je suis en fin de contrat en juin 2005, mais je n'exclue pas de poursuivre ma carrière. Je suis le doyen de la L1. Avant même le début de la saison, j'ai un trophée dans la vitrine », sourit José Cobos.


Le charisme de Rohr

- Parler du Gym sans parler de Gernot Rohr est impossible, injuste même. Il a changé Nice par son charisme. « Les Strasbourgeois n'ont plus de droit à l'erreur. Ils vont être obligés de prendre des risques, de se découvrir, s'ils ne marquent pas rapidement », analyse-t-il.


Côté droit

- Si l'équipe niçoise est très équilibrée, son côté droit semble le plus performant avec Traoré et Vahirua. A Boka, toujours en dedans, et à Arrache de ne pas se laisser intimider et prendre de vitesse.


Arrache pour Le Pen

- La blessure de Le Pen, absent pour de longues semaines, est le coup dur de la semaine. A Salim Arrache, très remuant en début de saison, de montrer qu'il est plus qu'un joker.

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